mardi 20 décembre 2011

Villa à Cannes à vendre.


Cannes – Vallauris

Villa vue mer, quartier résidentiel de Cannes, nommé « Super Cannes ». 2 salons totalisant 100m², 5 chambres dont 2 en suite, chambre de service avec accès indépendant, 2 terrasses donnant sur les salons représentent 102m². Piscine 12 x 6 entourée d’un salon d’été avec bar, cuisine extérieure, Hammam, jacuzzi, vidéosurveillance.







Contact:
Jean-Baptiste Monié
01.53.24.14.42

lundi 19 décembre 2011

Nouvel appartement, Nanterre

Nouvel appartement à vendre!

  • Nanterre (Mont Valérien, limite Suresnes / Rueil Malmaison)
  • Superbe duplex
  • Immeuble des années 1990 bien entretenu
  • Orientation: Nord-Est / Sud-Ouest (sans vis-à-vis)
  • Vue dégagée sur l'ouest parisien et la Défense
  • Surface au sol: 149,7m² (133,6m² loi carrez) + 2 terrasses (23m²) + jardin (196m², non attenant)
  • Double séjour
  • Cuisine semi américaine
  • 4 chambres
  • 1 salle d'eau
  • 1 salle de bains
  • 2 places de stationnement en sous-sol
  • Proximité: Transports, Parc
  • Très bon état, très lumineux, magnifique vue (180°), calme

jeudi 15 décembre 2011

Appartement, avenue Foch


Prestige – Avenue Foch (50m²)

75016 Paris

790 000€ (FAI)





Exemple d'un studio similaire après 40.000€ de travaux


Triplex avec terrasse - 75005 - Paris


Triplex (avec terrasse) (143m²)

75005 Paris

2 100 000€ (FAI)






Appartement, proche place des Vosges.


Appartement
Duplex (120m²)
75004 Paris (près de la place des Vosges)
1 680 000€ (FAI)

 
Rue de Turenne (à deux pas de la place des Vosges)
Au 2ème étage de l'Hôtel de Villarcerf (1646).
Superbe appartement en duplex de 120m² (Loi Carrez) donnant entièrement sur les jardins intérieurs.
1er niveau: belle réception avec environ 4m de hauteur sous plafond, cuisine, chambre, salle de bains et toilettes.
2ème niveau en mezzanine: petit salon, chambre, salle de bains, toilettes, coin bureau et dressing.
Ascenseur
Gardien
Cave
Taxe Foncière: 1571€
Charges mensuelles: 450€
Bon état général. Lumineux et calme.
Parkingen sus 45 000€ dans l'immeuble.

mardi 13 décembre 2011

Crédit agricole chiffrera mercredi les suppressions de postes

Le Crédit agricole annoncera mercredi le nombre de postes qu'il prévoit de supprimer dans le cadre de la réduction de la taille de son bilan, a déclaré mardi à Reuters un représentant syndical du groupe bancaire.
Le groupe devrait ainsi emboîter le pas à BNP Paribas et Société générale, qui ont annoncé ces derniers mois plusieurs centaines de suppressions de postes, principalement dans les activités de banque de financement et d'investissement, les plus touchées par la crise et le durcissement de la réglementation bancaire.
"Les chiffres exacts
vont nous être communiqués demain", a dit Joël Gérin, délégué CFDT du groupe.
Selon la radio BFM Business, le Crédit agricole envisage de fermer une quinzaine de ses succursales de banque de financement et d'investissement (BFI) dans le monde, et un millier de postes pourraient être supprimés.
Une porte-parole du groupe bancaire a refusé de commenter ces informations.
Joël Gérin s'est aussi refusé à commenter les chiffres avancés par la radio.
Fin septembre, le Crédit agricole a annoncé un plan visant à réduire la taille de son bilan et de ses besoins de financement afin d'adapter son profil financier à la crise financière.
La direction de la banque avait alors assuré que le plan n'aurait pas de conséquences "majeures" sur l'emploi.
"Toutes les banques françaises sont inquiètes pour les activités qui supposent des financements de long terme comme les infrastructures ou l'aéronautique", commente un analyste financier, qui n'a pas souhaité être nommé.
"L'autre volet concerne les activités de marché où on peut s'attendre à des ajustements dans les effectifs", poursuit-il.
VALORISÉ AU QUART DES FONDS PROPRES
Dans le cadre de son plan de réduction de bilan, le Crédit agricole prévoit de réduire de 50 milliards d'euros son endettement entre juin 2011 et décembre 2012.
Il entend également réduire son programme de refinancement sur les marchés à moyen et long terme, en passant de 22 milliards d'euros en 2011 à 12 milliards en 2012.
Dans la BFI, il compte d'ores et déjà fermer ses opérations de fusions et acquisitions en Afrique du Nord et au Moyen-Orient pour les rapatrier à Paris.
En prenant les commandes du Crédit agricole SA début 2010, Jean-Paul Chifflet, le directeur général de la banque, n'avait pas caché sa volonté de rompre avec la stratégie de développement dans les activités de marché de l'ancienne équipe dirigeante, pour privilégier les activités de financement et la banque de détail.
Aux prises avec les difficultés de sa filiale grecque Emporiki, la banque a vu cette année sa capitalisation boursière s'effondrer en raison des inquiétudes des investisseurs concernant l'état de santé et la solvabilité financière des établissements bancaires européens.
A la Bourse de Paris, l'action Crédit agricole abandonnait près de 1% à 12h45 à 4,525 euros.
A ce niveau de cours, la banque a perdu plus de 50% de sa capitalisation boursière depuis début janvier, contre une perte de près de 34% pour l'indice bancaire européen. Avec un ratio "price to book" de 0,25, la banque n'est du coup valorisée qu'au quart de la valeur comptable de ses fonds propres.

Source: Les Echos - Reuters

Le sauvetage de Groupama a débuté

Sipa
Cerise, l’emblème de Groupama, échappe temporairement à la déconfiture : la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) va se porter au secours de l’assureur vert, en proie à de graves difficultés financières. Dimanche soir, dans un communiqué lapidaire, le groupe mutualiste et la CDC ont confirmé "être en discussion pour la reprise de la participation de Groupama dans Silic autour d'une structure d'échange avec des actions Icade", tout en précisant "qu’aucun accord n'a toutefois été conclu à ce stade".
Il faut trouver 2 milliard avant Noël
Selon un article du Figaro, citant une source proche du dossier, le sauvetage de Groupama se ferait par deux biais : la CDC rachèterait les 44% de la Silic détenus par Groupama , via sa filiale Icade. Parallèlement, le groupe achèterait pour 300 millions d’euros d’actions de préférence de Gan Eurocourtage, filiale de Groupama dédiée au marché du courtage.
Groupama a besoin de 2 milliards d'euros pour passer la fin de l'année. La solution qui se dessine semble être un compromis entre deux scénarios : la vente d’actifs non stratégiques, option préférée par Jean Azéma, l’ancien patron du groupe, débouté par les actionnaires en octobre, et la cession de morceaux du Gan, considérés comme des "pépites".

Un patrimoine immobilier estimé à plus de 4 milliards
La vente de la Silic, dont Groupama détient 44 %, pourrait amener dans les caisses de l’assureur environ un demi-milliard d’euros. Le groupe pourrait aussi chercher à se défaire d'un patrimoine immobilier estimé à 4,1 milliards d'euros dans les comptes, avec des plus-values latentes d'un montant de 1,5 milliard d'euros, déduction faite de la part revenant aux actionnaires minoritaires.
Autre actif non stratégique: les activités au Royaume-Uni. Mais cette branche, comme la plupart des filiales étrangères du groupe, est pénalisée par un écart d'acquisition de 186 millions d'euros. Sa vente comme celle des titres Société générale, Eiffage ou Veolia se traduirait par de lourdes pertes comptables. Groupama souhaiterait aussi se défaire de son activité de private equity, qui a 1,8 milliard d' encours sous gestion.
Quel avenir pour GAN assurances ?

La partie GAN Eurocourtage, qui n’était en principe pas à vendre, pourrait valoir entre 700 millions et 1 milliard. En entrant au capital de cette filiale, très rentable, la CDC semble davantage dans le rôle du chevalier blanc que d’un repreneur industriel. Cet apport d’argent frais pourrait laisser à Groupama un peu de temps pour réfléchir à la cession d’un autre actif stratégique : Gan Assurances. Axa et Allianz ont déposé des offres de rachat d'un montant respectif de 400 et 600 millions d'euros soit la moitié de ce que veut le vendeur...
"Axa a déjà un réseau important de 3 850 agents et il pourrait y avoir une question de position dominante" objecte Cyrille Chartier-Kastler président du cabinet Fact & Figures. De leur côté les syndicats ont signifié leur hostilité au projet. "L'abandon du GAN est synonyme de démantèlement du groupe et de danger pour l'emploi", affirme Joël Mottier, président de la fédération de l'assurance CFE-CGC.
Autre solution envisageable, peut-être moins douloureuse: la signature d'un traité de réassurance qui réduirait les besoins du groupe en fonds propres. Groupama pourrait, par exemple, s'entendre avec la Scor, qui prendrait une partie de ses risques moyennant un partage des profits. "Les bénéfices d'un traité de réassurance ne sont pas immédiats, il faut un an pour qu'il ait un effet sur la structure du bilan", objecte un acteur du secteur. Autre inconvénient: le besoin en fonds propres diminue, mais la rentabilité aussi. "Ce remède ne suffirait pas à redresser la marge de solvabilité du groupe", souligne Cyrille Chartier-Kastler.
Un adossement au Crédit Agricole ou à Covéa ?

Et puis il y a la solution ultime: l'adossement. "Au Crédit agricole, il y a toujours un groupe de travail dans un coin qui planche sur un rapprochement avec Groupama", s'amuse un ancien de la banque verte. Pour l'instant, le rival de toujours de la finance verte est aux abonnés absents. De surcroît, le Crédit agricole a d'importants besoins de fonds propres, il doit réduire son bilan et n'a certainement pas envie de récupérer un assureur en difficulté.
Ces derniers jours, les dirigeants de Groupama auraient tenté d'approcher ceux du Crédit Agricole, mais sans succès. D'autres mutualistes seraient intéressés. Covéa, qui regroupe Maaf, MMA et GMF, attendrait son heure, afin de réaliser une alliance globale à moindre coût. D'ici là, il faudra peut-être trouver une solution transitoire.
"A court terme, le mieux serait que l'Etat entre au capital du holding Groupama SA, estime Philippe Picagne. Peut-être comme il l'a fait pour les banques, sous forme d'actions sans droit de vote. » Le ministre des Finances, François Baroin, n'a pour l'instant pas répondu aux syndicats de Groupama qui demandent à le rencontrer.
Delphine Dechaux et Irène Inchauspé
Source: Challenges

Nouveau groupe sur Linkedin!

Nouveau groupe, Finance en France sur Linkedin!

Sortir de l'euro détruirait jusqu'à un million d'emplois

Crédits photo : MAL Langsdon/Reuters
Le retour au franc prôné par Marine le Pen coûterait très cher à la France, a calculé l'institut Montaigne. Cette étude va dans le sens des travaux effectués par de nombreuses banques européennes.

Abandonner l'euro, revenir au franc. Si l'idée est simple, sa réalisation serait catastrophique, prévient l'institut Montaigne, centre de réflexion libéral. Dans une étude publiée par Les Échos ce mardi, les auteurs estiment que la sortie de la France la monnaie unique détruirait 1 million d'emplois à moyen terme, et «plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines de milliers» dès la première année.

Ce n'est qu'un chiffre parmi d'autres, calculés par l'institut Montaigne grâce aux logiciels du ministère des Finances. En voilà d'autres: abandonner l'euro provoquerait un appauvrissement de 9000 euros par salarié. Il détruirait entre 6% et 19% de la valeur produite par la France en un an (le produit intérieur brut, PIB). «La zone euro, elle-même, ne survivrait certainement pas au retrait de la France», estime le quotidien économique. Une conséquence parmi d'autres: l'agriculture française s'effondrerait sous les coups de butoir des concurrentes espagnole et italienne, aux coûts moins élevés.

Le retour au franc s'accompagnerait également d'une dévaluation. Côté positif: les entreprises exporteraient plus facilement. Dans un premier temps seulement. Les côtés négatifs sont beaucoup plus nombreux: les prix des produits de consommation importés (pétrole, téléphones portables) exploseraient. La dette publique, qui culmine déjà à un peu plus de 80% du PIB, gonflerait automatiquement jusqu'à plus de 100%.

Les chiffrages de l'institut Montaigne sont toutefois sujets à caution. La qualité de ces prévisions est estimée à 1 sur 5 par le think tank lui-même. Reste que les équipes spécialisées des grandes banques européennes qui se sont penchées sur la question arrivent plus ou moins aux mêmes conclusions. Les travaux d'UBS sont encore plus inquiétants. La banque suisse estime que la sortie de l'euro d'un grand pays comme l'Allemagne coûterait entre 3500 et 4500 euros par habitant et par an. Soit la disparition de près d'un quart de la richesse du pays.

Les économistes de Credit Suisse se sont également frottés à l'exercice. Ils en concluent que la zone euro perdrait 5% de sa richesse en un an. Par effet domino, les États-Unis seraient également touchés, à hauteur de 4% du PIB. Les banques des pays coeur de l'euro (France, Allemagne, Autriche, ...) y perdraient 300 milliards d'euros. Et ce ne serait qu'en cas de sortie d'un petit pays de la zone euro, comme la Grèce, précisent les économistes.
Source: le Figaro

lundi 12 décembre 2011

Nouveaux Bureaux

Nous voila bien arrivé dans nos nouveaux bureaux, dans le petit Hotel Bourrienne au 58 rue d'Hauteville 75010 Paris.